Dit is de eerste melding van Etta in de geschiedschrijving. De
serie van Buchez en Roux valt in zijn geheel, dus ook de delen 8
en 11, in de vorm van pdf's op te halen bij gallica.fr.
Het gedeelte in deel 8 begint halverwege pagina 424 en loopt door
tot halverwege pagina 427. Hieronder de tekst waarbij cursief
mijn opmerkingen zijn.
In deel 11 wordt op pagina 118 melding gemaakt van de arrestaties
na de ongeregeldheden op de Champ-de-Mars van 17 juli 1791.
Daarbij is een uitgebreide noot geplaatst, die ik hieronder heb
overgenomen.
CERCLE SOCIAL. Bouche de fer du 3 janvier. - Discours de madame
Palm d'Aelders, Hollandaise, lu à la confédération des Amis de la
vérité par un de MM. les secretaires.
Vervolgens wordt het Discours geciteerd, wat ik
niet opneem omdat het al op deze
pagina staat. Bij de zinssnede '(...) et leur
permettent de lever un corps pour la défense de la patrie' is
de volgende noot toegevoegd:
(1) Madame Palm fait tel allusion à une adresse des amazones de
Vic, armées pour servir d'auxiliaires aux gardes nationales. Cette
adresse fut lue à la Constituante, le 20 novembre au soir.
De tekst van het Discours wordt gevolgd tot het zinsdeel 'pourquoi ne nous donneroit-on pas la même éducation et les mêmes moyens pour les acquérir ?'
Daarna wordt het volgende gedeelte als volgt samengevat:
Madame Palm essaie de prouver ensuite par l'histoire que si la
nature donna aux hommes un bras plus nerveux, elle rendit les
femmes égales, sinon supérieures aux hommes, en force morale, en
délicatesse de sentiment, en générosité d'âme, etc. Elle cite à
appui la fille de Caton, la mère de Coriolan, les femmes grecques
qui combattirent à Salamine, la mère des Gracques, la femme de
Pétus, Elisabeth, Jeanne d'Arc, Catherine II. Prenant les exemples
dans l'époque même, elle parle de coopération des dames de Paris
aux travaux du Champ-de=Mars (14 juillet 1790). Elle finit en
disant:
En dan volgt het slot van haar Discours, beginnend vanaf 'Que
notre sainte révolution...'.
(1) Dans la nuit du 17 au 18, on arrêta (Moniteur du 19)
neuf personnes, toutes étrangères. Les trois dont les noms sont
connus, furent:
-- le juif Ephraïm, conseiller-privé du roi de Prusse, se
disant chargé d'une commission spéciale de la part de
Fréderic-Guillaume; il fut relâché trois jours après;
-- la baronne Oeta, Palm d'Aelder, membre du Cercle
social, et connue à ce titre dans notre histoire; elle fut mis en
liberté presque immédiatement
-- Rotondo enfin, dont l'arrestation est circonstanciée plus haut.
Celui-ci disparait de l'histoire officielle jusqu'à l'année 1793,
où il est de nouveau arrêté à Genève.
Voilà toute la faction étrangère. Les journalistes patriotes
remarquent que les agens autrichiens, les seuls à craindre, et les
seuls bien reconnus pour tels, n'ont pas été même surveilles.
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